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Le 7 novembre
Cinéma: Rio Rojo

Évènement passé !

Organisé par l’association Pierre Chaussin

Toutes les séances ont lieu à la salle DETERRE CHEVALIER de SAINT-PARRES-aux-tertres
(face à la mairie) BUS 7 : arrêt Mairie de ST-PARRES

Séance à 14h30 et 20h

Entrée libre

Rio Rojo de Guillermo QUINTERO
Documentaire, France-Colombie, 2023, 1h10
Présence du réalisateur-documentariste
Guillermo QUINTERO
En partenariat avec I N C A
(Information et Culture d’Amérique Latine)

SYNOPSIS
Dans la Serranía de la Macarena, au nord de l’Amazonie colombienne, se trouve Caño Cris-tales, une rivière mythique qui coule au milieu de la forêt, aussi appelée la « rivière des sept couleurs ». Oscar, sa grand-mère Doña María et l’indien Sabino vivent paisiblement dans la région, en communion avec la nature. Mais cette zone, un temps préservée par le conflit avec les FARC, est aujourd’hui victime de sa beauté et menacée de disparition par l’arrivée de nouveaux visiteurs…

La rivière se défend contre l’avidité des hommes. Río Rojo (La Rivière Rouge)est un film de Guillermo Quintero qui, à travers le mythe de la création de la rivière Caño Cristales, ra-conte comment celle-ci a fait partie du flux de l’histoire de la région et du pays. La vio-lence, les morts et la réconciliation ont marqué la relation des communautés qui y vivent. Ain-si ont-elles généré un sentiment d’appartenance ancestral, une relation de compagnie avec le territoire, supportant à elles seules l’isolement et la solitude de l’État, le conflit armé et, après la signature des accords de paix, la voracité des multinationales.
Panorama du cinéma brésilien.com, Nicolás Garzón Ortiz
Ce reportage, qui a nécessité près de quatre années de tournage, a interpellé la trentaine de spectateurs présents, ravis en fin de séance de pouvoir échanger avec le réalisateur sur diffé-rents sujets, tels les FARC, la déforestation en Amazonie colombienne, ou encore l’impact du tourisme sur un site exceptionnel.
letélégramme.fr finistere Rosporden
Un film calme, lent même, avec beaucoup d’images de paysages qui recherchent une beauté plastique incontestable. Une dominante : l’eau. La rivière bien sûr, des cascades, des plans d’eau où l’on se baigne. Dans l’incipit une légende de la naissance de cette rivière qualifiée de « plus belle du monde ». Un film nécessaire. Même s’il ne propose pas de manifestations toni-truantes ni de slogans ou de mots d’ordre révoltés, il s’agit bien d’une protestation, d’une re-vendication de survie, face aux menaces qui pèsent sur l’avenir de l’Amazonie colombienne et la vie si proche de la nature des Indiens qui ont toujours vécu là.
dicodoc.blog, le cinéma de A à Z
La Rivière Rouge (…) sert de rappel poignant aux défis sociaux et écologiques pressants qui touchent actuellement de nombreuses régions du monde. Comme Quintero l’a déclaré dans l’introduction vidéo du film, la perte de l’Amazonie est la perte d’un rêve. Son film documen-taire poétique offre au public l’occasion de réfléchir à l’équilibre délicat de la nature et de la société avec subtilité et affection.
Soundsandcolors.com, Oleno Netto

Programme de fin d’année:


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